TITRE : Oups ! Mauvaise fenêtre
AUTEURS :
Antoine Charbonneau-Demers
Patrick Sénécal
Josée De Angelis
Hugo Meunier
Simon Lafrance
Patrick Isabelle
Chloé Varin
MAISON D'ÉDITION : Parc en face (Éditions les Malins)
GENRE LITTÉRAIRE : Nouvelles
NOMBRE DE PAGES : 344
SYNOPSIS : Une sacoche volée.
Un message envoyé trop vite.
Des réminiscences du secondaire.
Deux vieux ennemis réunis.
Une panne d'électricité d'apparence anodine.
Un frère et une soeur en cavale.
Un bal des finissants raté.
Sept autrices et auteurs, sept nouvelles, une idée: Oups! Mauvaise fenêtre.
MON AVIS :
Avant toute chose, j’aimerais souligner le travail des auteurs dans ce collectif. C’est difficile écrire des nouvelles, encore plus avec un thème obligatoire (la mauvaise fenêtre). Chaque auteur y est allé d’une façon différente pour leur récit et pour ça, je leur lève mon chapeau. Néanmoins, ce collectif ne m’a pas du tout convaincue et j’ai décidé de ne pas critiquer nouvelle par nouvelle, car il y en a certaines que je n’ai pas finies, car je n’appréciais pas ma lecture. J’ai donc voulu faire un compte rendu général de l’œuvre.
L’une des raisons pour laquelle je donne une note aussi basse, c’est que sur les sept nouvelles, seulement trois m’ont plu et trois que je n’ai pas terminé ma lecture. La septième, je l’ai terminée, mais elle ne m’a pas marquée assez pour que je dise que je l’ai aimée. C’était correct, sans plus.
Le concept de ce collectif était extrêmement intéressant, et j’ai lu des histoires très différentes en genre littéraire tout comme en écriture. Des hommes et des femmes qui écrivent à leur manière, des histoires qui leur sont propres. Il est vrai que les « fins ouvertes », dans le sens où j’en aurais pris plus, m’ont un peu déçue. Ce sont des nouvelles, donc c’est normal aussi dans un sens, mais j’ai été laissée sur ma faim.
Tous ces éléments ensemble ont fait en sorte que mon appréciation a été un peu difficile. Encore une fois, je souligne le travail et l’effort. Il y avait un énorme potentiel, mais qui malheureusement ne m’a pas convaincue. Ce sont des choses qui arrivent. Peut-être n’étais-je pas le public cible d’une œuvre comme celle-là.
