top of page
  • Photo du rédacteurMione

The House in the Cerulean Sea by TJ Klune

[Une version française de la critique peut être lue plus bas]

TITLE : The house in the cerulean sea

AUTHOR : TJ Klune

EDITOR : Tor Book


GENRE : Fantasy

NUMBER OF PAGES : 400


RESUMÉ : Linus Baker is a by-the-book case worker in the Department in Charge of Magical Youth. He's tasked with determining whether six dangerous magical children are likely to bring about the end of the world.


Arthur Parnassus is the master of the orphanage. He would do anything to keep the children safe, even if it means the world will burn. And his secrets will come to light.


The House in the Cerulean Sea is an enchanting love story, masterfully told, about the profound experience of discovering an unlikely family in an unexpected place―and realizing that family is yours.

 

MY REVIEW :


I did not finish this book. I bought it, seeing it everywhere, having amazing reviews, people saying it’s one of the best fantasy books they have read. When I started it, I was so disappointed! I couldn’t understand the hype. I started to ask questions on Instagram and on my book club to know if I should keep on reading or DNF’it. Everyone was saying: but wait till you meet the children! I already did and I wasn’t enthusiast about it. Before, I was the kind to push and finish a book whatever it takes, but now, I accept that there are books not for us and it’s okay to put it aside without finishing it.


So, what made me DNF?


The fantasy world-building takes its place rapidly, but also very rigidly. The construction of the story as much as the story, I felt like I was trapped. I think it’s normal because the protagonist feels the same, but I wasn’t liking it. I have always loved fantasy books, but this one, I think it was too much for me. It wasn’t written correctly, my opinion, to let us feel the book completely.

There’s an expression saying, “You should never judge a book by his cover” and I never respected that, but for this one I would have. The cover is so vivid and colorful, my eyes were stuck on it, but I never read a book so gray, so fade. It’s hard to explain, but when I was reading, I couldn’t see color in the story. My imagination was creating a fade, black and white, grayish things I didn’t like.


As for the characters, it’s the first time it happens but I wasn’t connecting with any of them. Linus was so boring! I know it’s normal at the beginning, he’s like an official, working for a corporation, but it wasn’t just that. He didn’t have any personality. He’s a man in his 40s living by rules and looks for a family and be happy. I liked the fact homosexuality was just a normal thing, but aside from that…


As for the children that everyone was telling me “You’ll love them so much,” well I didn’t. That’s when the fantasy went too far for me. They were calling them children, but they weren’t. They were creatures. A gnome, a wyvern, a blob-thing. It was so hard for me to get attached to them, because my mind was trying to connect the term children to these creatures. It wasn’t fitting and I couldn’t love a single one of them… It was too much for me.


As for the love story, I didn't get that far so I can't tell a thing about it.


When I was approaching page 100, I guessed the end, and someone confirmed it to me. It was so predictable I decided to close the book for good. I wasn’t able to continue. I didn’t like a thing in the story, in the characters and honestly, I felt depressed.

I don’t understand the hype, honestly. I gave it a try, but I won’t give it another. Once was enough. I don’t think I will read this author again; his writing didn’t impress me at all.





 

TITRE : La maison au milieu de la mer céruléenne

AUTEUR : TJ Klune

MAISON D'ÉDITION : De Saxus


GENRE : Fantasy

NOMBRE DE PAGES : 473


RÉSUMÉ : Une île magique. Une mission dangereuse. Un secret brûlant.

Linus Baker mène une vie tranquille et solitaire. A quarante ans, il vit dans une petite maison avec un chat caractériel et ses vieux disques. En tant qu'agent du Ministère de la Jeunesse Magique, il doit s'assurer du bien-être des enfants dans les orphelinats supervisés par le gouvernement. Mais lorsqu'il est convoqué de manière inattendue par les Cadres Extrêmement Supérieurs, il se voit confier une mission curieuse et hautement secrète : se rendre sur l'île de Marsyas dans un foyer où résident six dangereux pensionnaires.


Obligé de mettre ses craintes de côté afin de rédiger un rapport objectif sur l'établissement, Linus va vite comprendre que les enfants ne sont pas le seul secret que renferme l'île. Il devra également réussir à cerner le charmant et énigmatique directeur des lieux, Arthur Parnassus, qui fera tout pour défendre ses protégés.


A mesure qu'il découvre d'incroyables secrets et qu'il se rapproche d'Arthur, Linus va se retrouver confronté au plus difficile des choix : faire son devoir ou écouter son coeur.

 

MON AVIS :


Comme j’ai lu la version anglaise, je ne peux pas me poser sur la version française et le travail du traducteur ou de la traductrice. Une chose que j’ai remarquée, c’est que plusieurs comptes que je suis sur les réseaux sociaux semblent avoir adoré la version française, ce qui me donne, peut-être, envie de redonner une chance à ce roman, mais dans la langue de Molière. Avant, j’étais incapable de ne pas terminer un livre, je poussais encore et encore, mais depuis quelque temps j’ai fait la paix avec le fait qu’un roman peut ne pas être fait pour nous et qu’on peut ne pas le terminer. C’est la raison pour laquelle je vous présente un DNF qui se définit par un « DID NOT FINISH ». Je n’ai pas fini le livre, car je n’ai pas été capable d’embarquer dans l’histoire ou de m’attacher à un seul personnage.


Le monde fantasy prend sa place assez rapidement, mais j’ai trouvé que c’était extrêmement rigide, autant dans la construction narrative que dans l’histoire. J’ai eu l’impression d’être coincée dans ma lecture. C’est un peu compréhensible, car c’est comme ça que se sent le personnage principal, mais j’ai trouvé ça désagréable. J’adore lire de la fantasy, mais ici j’ai trouvé que c’était trop.

L’expression « ne jugez pas un livre par sa couverture », j’aurai dû m’y fier cette fois-ci. Alors qu’on a une couverture vive avec plein de couleurs, j’ai lu une histoire grise et fade. Je n’arrivais pas à ressentir de la joie. Mon imagination littéraire me créait une image embrouillée, en noir et blanc, avec un filtre gris sur le dessus. C’était désagréable et vraiment, ça me pesait.

Quant aux personnages, c’est la première fois que ça arrive, mais je n’ai pas été capable de m’attacher à un seul d’entre eux. Linus est tellement ennuyeux. Oui, ça se comprend, il a 40 ans, vit par les règles qui lui sont dictées, est officier d’une grande corporation, mais quand même… On comprend qu’il se cherche une famille et à être heureux, mais sa personnalité n’est pas du tout sortie du lot et c’est le protagoniste. Cependant, j’ai adoré la représentation de l’homosexualité comme une normalité.

Chaque fois que je posais des questions sur les réseaux sociaux à savoir si je devais continuer ou pas le livre, on me disait : attends de rencontrer les enfants ! J’avais déjà fait leur rencontre et je n’étais pas sue tout impressionnée. En fait, mon cerveau n’arrivait pas à connecter le mot « enfant » avec les créatures qui étaient présentées au pensionnat. Un gnome, un wyvern, un blob, l’antéchrist, genre… je n’arrivais pas à m’attacher à eux. Rien ne sortait du lot et ça m’a démotivée, sachant la grosseur du livre.

Autour de la page 100, j’avais deviné la fin et quelqu’un me l’a confirmé. Pour moi, ça l’a été le point de non-retour. J’ai fermé le livre et j’ai accepté le fait qu’il serait dans ma pile DNF. Ce sont des choses qui arrivent.


J’ai vu des milliers de personnes adorer ce roman ! Il n’était simplement pas pour moi. J’avoue même ne pas comprendre l’engouement, mais je crois que c’est une simple question de popularité. Comme j’ai dit, je lui donnerais peut-être une chance en français, mais je ne suis pas convaincue. Peut-être que le traducteur a fait un meilleur travail d’écriture que l’auteur, c’est très possible aussi.








Posts récents

Voir tout
Bannière_Mione.png
bottom of page